Fairy Tails rpg
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 Mortimer Zack (inventé) Fini.

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MessageSujet: Mortimer Zack (inventé) Fini.   Mortimer Zack (inventé) Fini. EmptyLun 25 Jan - 17:46

Votre Personnage

Nom:

Mortimer est le nom qui m'a été attribué dès le moment où j'ai rejoint ce monde. Mais ne comptez pas sur moi pour le prononcer.

Prénom:

Zack. Juste Zack. Mes parents m'avaient donné un nom plus long, mais pourquoi se prendre la tête quand on peut faire court ? Ne cherchez pas : c'est Zack, et puis c'est tout. De toute façon, plus personne ne pourra vous dire le contraire à l'heure actuelle.

Âge:

Je fêterai mes trente ans d'ici très peu de temps.

Description morale: (5 lignes minimum)

Parler de ce qu'il y a dans ma tête ? Franchement, vous m'en demandez trop ! Comme si je pouvais répondre à une telle requête avec précision. Cependant, je n'ai jamais dit que vous n'aurez pas les renseignements désirés. Où l'ai-je mis... ah ! Voilà ! Ceci est le rapport d'un détective un peu trop curieux qui se mit à me suivre pendant quelques semaines avant que... eh bien... que nous nous rencontrions face à face, si j'ose dire. Mais passons pour le moment sur ce détail. Lisez-donc ce que cet homme a écrit sur moi.

Citation :
Voici un compte-rendu détaillé de mon analyse du sujet lors des trois mois précédents qui furent employés sous la forme d'une filature incessante de l'individu qui nous intéresse actuellement. Je passerai sous silence son apparence physique, qui n'a guère sa place ici-même, bien que quelques détails puissent y être rapportés. Mais commençons plutôt par analyser la manière dont il interagit avec ce qui l'entoure. Voyez-vous, nous pourrions classer le type de relation des gens en plusieurs catégories : amis, ennemis, illustres inconnus, relation intime, ou encore relation professionnelle. Mais voilà, le problème avec cet homme, c'est qu'il ne semble avoir aucun ami, du fait qu'il passe son temps à errer seul. Je ne l'ai guère surpris en plein conflit avec quiconque, ce qui semble également réduire la liste de ses ennemis à néant. Pour ce qui est de son contact avec les passants et autres civils, le sujet n'est pas très bavard à première vue, et n'attire nulle sympathie de la part d'inconnus. J'ai cependant pu apercevoir, l'espace d'un instant, et ce à plusieurs reprises, une expression de pitié sur certains visages, quand ce n'était pas de la peur. J'imagine qu'on peut mettre ça sur le compte de son teint pâle comme la mort. Pour ce qui est de ses relations intimes, l'individu ne paraît guère capable de dissocier son travail de ses conquêtes. Cet avis m'est venu après avoir remarqué que l'homme amenait toujours ses amantes et amants – c'est la conclusion qui m'est apparue – dans son cabinet de chirurgien. Peut-être est-il finalement capable d'user de belles paroles pour amadouer la populace, à défaut d'user de son charme physique inexistant.

Vous rendez-vous compte de la manière dont une personne qui m'a suivi pendant longtemps a fini par analyser mes relations avec les gens ? Le pire, c'est qu'il s'est complètement planté sur certains points. Les relations intimes ne m'ont jamais intéressé. Après tout, je vous ai déjà fait part de mon dégoût pour les vivants, non ? Je ne vois pas pourquoi je me rapprocherai ainsi de quelqu'un d'autre. Soyons logique. De ce fait, le détective s'est totalement égaré quand il parlait de mes rapports avec ces gens que je ramenais dans mon soit-disant cabinet médical. Cela dit, il a raison quand il sous-entend que mes liens avec ces individus étaient comme fusionnels. Sauf que ce n'est pas physiquement, mais... comment dire... je pourrais employer le terme " spirituel ", mais ça me paraît hors de propos. Disons simplement que je prenais un plaisir fou en voyant l'expression de surprise sur le visage de ces victimes malchanceuses. Et le plaisir ne faisait qu'augmenter au fur et à mesure que je libérais leurs ossements de toute chose superflue. Toutes ces immondices qui recouvraient leur squelette. Voilà donc mon véritable mode relationnel avec les gens : soit je les ignore, soit je les amadoue pour pouvoir m'en servir comme cobaye et ainsi jouer tranquillement du scalpel. Toutes ces choses futiles que sont l'amitié, l'amour, la haine, et j'en passe, eh bien je trouve ça carrément barbant. En revanche, je pense que m'associer avec quelqu'un – ou travailler avec quelqu'un – pourrait être envisageable, dans la mesure ou cette personne correspondrait un minimum à mes intérêts. Je ne peux donner de détails, puisque c'est surtout au feeling. Difficile à approfondir, donc. Si nous en revenions à ce que raconte le détective dans son rapport ?

Citation :
En ce qui concerne l'existence d'un quelconque emploi du temps, ou rythme habituel chez le sujet, je ne suis parvenu à aucune mise en forme claire et précise. c'est comme si notre homme ne prenait jamais la peine de planifier quoi que ce soit, et se contentait de faire ce qu'il désire quand il le souhaite, ou encore de se rendre où il veut quand il veut. Je ne parviens pas à comprendre comment il peut ainsi gérer sa vie professionnelle. L'individu passe peu de temps sur son lieu de travail comparé aux longues périodes de vadrouille qu'il se permet de s'accorder quotidiennement.

C'est vrai que je n'ai pas d'emploi du temps quelconque. Je fais vraiment tout comme il me plaît. Ce n'est pas comme si j'avais des contraintes dues à mon travail, puisque je n'ai pas de travail. Ce brave détective s'est laissé avoir par quelques bribes de conversation qu'il a sûrement surprises lorsque je cherchais à attirer quelques proies dans mon antre. La vérité, c'est que mon cabinet ne me sert en fait qu'à exercer mon petit plaisir de dissection, ni plus ni moins. Quant à l'argent, il me suffit de le récupérer dans les poches de mes victimes. Pourquoi se prendre la tête quand on peut faire simple ? Donc, bien évidemment, j'aime aussi beaucoup me promener dans les rues, même si ce n'est pas toujours uniquement pour prendre l'air. Cela arrive, bien sûr. Mais souvent, c'est surtout pour mettre la main sur des cibles potentielles. D'ailleurs, en parlant de mes vadrouilles – pour reprendre le terme employé par le détective – je devrais pouvoir retrouver un passage intéressant dans ce rapport. Attendez voir... voilà ! Trouvé !

Citation :
Mais s'il y a bien un point qui me semble vraiment étrange chez cet homme, c'est sa passion pour les cimetières. Plusieurs fois lorsque je le suivais, il s'est arrêté dans un lieu où reposent de nombreux défunts, et y restait pendant un long moment, de nuit principalement. Mes yeux n'étant pas forcément habitués à l'obscurité, et du fait que je préférais ne pas m'approcher trop près car je ne voulais pas me faire repérer, jamais je n'ai saisi la raison d'une telle fascination pour ce genre de lieux. Cependant, peut-être est-ce une hallucination de ma part, mais il m'a semblé entendre un peu de bruit dans le cimetière lorsque le sujet s'y trouvait. J'ai eu également l'impression que quelque chose s'agitait devant mes yeux. Des formes, du mouvement. Ne comprenant pas de quoi il s'agit, je mettrai cela sur le compte de la fatigue. Mais cet énergumène est décidément très étrange.


Eheh, s'il savait. Oui, j'aime me rendre au cimetière le soir, pour y faire une fiesta à réveiller les morts, au sens propre comme au figuré. Et puis c'est l'occasion d'envoyer les squelettes nouvellement libérés de l'emprise de la chair rejoindre leurs ancêtres sous terre. J'en profite souvent pour appeler mes trois chéris pour qu'ils se joignent à la fête. Mes rapports avec eux sont d'ailleurs très particuliers. Bon, avec Bodok, on se contente de discuter du bon vieux temps autour d'une bouteille d'alcool. Il m'appelle fiston, et je l'appelle l'ancêtre. Une habitude entre nous. Pour ce qui est de Flip et Ziggy, ben ils ne demandent qu'un peu d'affection, quelques caresses, et voilà le travail. Je les adore ces animaux. Enfin bref, c'est ici que se conclue le rapport du détective. Je me doute qu'il aurait aimé continuer à enquêter sur moi, mais bon, il n'en aura pas eu d'avantage l'occasion. Pov' type. Allez, envoyons la suite !

Description physique: (5lignes minimum)

Bon, autant le dire d'entrée de jeu : je me trouve horrible. Non non, je ne veux pas partir dans une histoire de complexes liés à des petits détails de mon apparence. En fait, c'est le corps humain dans son ensemble qui me semble totalement superflu. Mais bon, je parlerai d'avantage de cela dans une prochaine section, car pour le moment il va falloir m'armer de patience pour pouvoir venir à bout d'une description correcte de l'image que j'offre au monde qui m'entoure. Afin de faciliter les choses, entamons donc un long périple de découverte à partir du sommet de mon crâne jusqu'au revers de mes talons. De haut en bas, quoi. J'imagine donc que vous vous attendez à une description de ma chevelure ? Eh bien non, ça attendra. Car la plus haute chose qu'on peut voir en apparence chez moi, c'est mon chapeau. Un chouette couvre-chef noir, franchement classe, qui se marrie tellement bien avec le reste de ma tenue. Quand je pense que je préfère mes fringues à mon corps. Si c'est pas dingue, ça. Pourtant, ça ne fait pas un pli. Mais passons. Où en étais-je déjà ? Ah, oui ! Mon chapeau super classe qui me donne un air mystérieux – si peu... - dissimule la quasi-totalité de mes cheveux. Ces derniers arborent une couleur sombre comme la nuit, et laisse échapper quelques mèches le long de mon visage. Incapable de tenir en place comme je le voudrais, cette fichue tignasse. Et après on s'étonne que je n'aime pas ce corps. Enfin bref.

Avant de passer à la suite, j'aurais une petite question à vous soumettre. Rien de très compliqué, je vous rassure. En fait, j'aimerais savoir pourquoi certaines personnes ont peur de moi ou prennent le besoin de m'offrir leur pitié, simplement parce que ma peau est pâle ? Bon, d'accord, elle est vraiment très pâle. Mais j'ai envie de dire : et alors ? J'aime ce teint cadavérique, c'est ce qui fait la majeure partie de mon charme, après ma tenue vestimentaire. J'ai un si beau teint, qui me rappelle toujours celui de mes mignons lorsque je me regarde dans un miroir. Et – qu'on se mette d'accord tout de suite à ce sujet : il n'y a rien de plus élégant qu'un squelette dénué de toutes ces imperfections que les vivants transportent par-dessus leurs os. Cela dit, mis à part la couleur cireuse, j'affectionne aussi beaucoup le noir. La couleur de la nuit, des ombres, des ténèbres. Mais aussi la couleur de mes cheveux – puissent-ils tomber les uns après les autres et ne plus repousser – ainsi que celle de mes yeux. Certains disent que j'ai de beaux globes oculaires. Certes, ils ne le mentionnent pas sous ces termes. Mais ça revient au même au final. Je trouve ça stupide. Comme si des yeux pouvaient être beaux. J'en ai arrachés à mes victimes un bon nombre de fois. Eh bien je ne vois vraiment pas ce qu'on peut trouver de beau là–dedans. Peut-être demanderai-je quelques explications à une âme charitable un jour. Mais ça ne fait pas partie de mes priorités. Pour le moment, je dois continuer cette description de mon apparence peu intéressante. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise, après tout ? Que j'ai un gros pif ? Bon, c'est faux, il est plutôt fin, mais ce n'est qu'un détail. Et il surplombe une bouche qui m'est très souvent utile. Non seulement je parle beaucoup – surtout pour charmer certains cobayes en devenir grâce à de traîtres mots – mais en plus je possède une dentition soignée qui me permet de prendre un plaisir immense à croquer de la viande lorsque vient l'heure du repas. Si j'aime tant manger de la viande – bien que je ne sois pas un grand gourmand – c'est surtout parce que ça me permet de débarrasser la carcasse rôtie de ma nourriture pour dévoiler ses ossements. C'est comme si chaque plat consommé se terminait par une surprise enfouie sous la viande. J'aime. Vraiment. J'adore même. Bon, rien d'autre à ajouter au niveau de ma tête. Cherchez pas, je n'ai pas envie de parler de choses qui m'indiffèrent totalement. J'ai des oreilles ? Youpi. Un menton ? Hourra. Bref, c'est pas comme si j'allais rédiger un pavé sur la jolie forme de mes lobes temporaux, ou je ne sais quoi encore. Passons à la suite, donc.

Comme la plupart des êtres humains, je suis doté de deux bras – ni trop larges, ni trop rachitiques – qui se prolongent le long de mon corps à partir des épaules pour se conclure sur l'apparition de deux mains aux doigts fins. En tant que passionné de dissections en tous genres, je prends grand soin de mes mains qui me permettent de manipuler avec dextérité toutes sortes d'outils contondants. Dit autrement, j'aime jouer du scalpel. Cependant, sachez que mes petites menottes sont tout le temps dissimulées sous une paire de gants blancs. Manie liée à mon hobby de chirurgien bénévole, je présume. Cela permet de garder les mains en bon état, même après une longue séance de dissection. Je mets un point d'honneur à ne jamais me craquer les doigts. Comme si j'allais abîmer la plus belle partie de mon anatomie. Mon squelette doit rester intact ! Détériorer mes os, quelle idée stupide. Par ailleurs, d'un point de vue vestimentaire, je porte toujours une chemise blanche et une veste noire par-dessus, au niveau de la partie supérieure de mon corps. Je n'aime guère dévoiler mon torse ou mon dos, du fait qu'il s'agit là des parties les plus immondes de mon apparence. Des cicatrices en tous genres se promènent sur ces zones hideuses, résultat d'un passé trouble. Comme si le fait que de la chair surplombe mon joli squelette ne suffisait pas à pervertir ce physique. Il faut en plus compter sur ces marques peu glorieuses. J'ai entendu plusieurs fois des gens se vanter de leurs cicatrices, comme s'il s'agissait de trophées remportés lors de je ne sais quelle occasion. Le cerveau humain est décidément bien complexe à comprendre. Je préfère parler de cerveau plutôt que d'intelligence. D'une part parce que ça me parle plus, en tant que chirurgien à mes heures perdues ; d'autre part du fait que je me demande si un tel concept que l'intelligence peut être associé à ces êtres primitifs et idiots à souhait. Sans offense aucune, bien sûr. La partie inférieure de mon corps – pour revenir au sujet qui nous concerne actuellement – n'a rien d'exceptionnel non plus. Deux jambes aux proportions semblables à celles des bras, deux pieds dont la pointure dépasse de peu la taille quarante, et voilà le travail. J'ai sauté volontairement la partie centrale, entre la partie supérieure et la partie inférieure de mon corps. Pour plus de détails, référez-vous à un livre d'anatomie. Je me contenterai donc de conclure ce paragraphe en ajoutant un pantalon noir – en adéquation avec la veste – et des chaussures de même couleur et de bonne facture, sans oublier quelques sous-vêtements, même si ce dernier point n'est guère intéressant. Et si on passait au caractère ?

Magie utilisé: (5 lignes minimum)

Qui a peur du squelette caché dans la penderie ? Personne ? ...Vraiment personne ? Serait-ce de la bravoure ou de l'inconscience ? Mon avis se tourne vers la seconde option, sans nul doute. Peut-être songez-vous que le squelette que vous avez trouvé au fond de votre placard n'est qu'un vulgaire tas d'os inoffensif, que vous pouvez prendre plaisir à démembrer pour ensuite jouer aux osselets avec ses jointures. Erreur. Il y a des chances pour que votre premier geste soit de tenter de vous débarrasser des restes du sombre inconnu que vous ne parviendrez jamais à identifier, en le jetant dans un coin sombre où personne n'ira le chercher. Grave erreur. Songez-vous réellement au fait que votre trouvaille ne peut avoir pour meilleur effet que la place d'un objet décoratif de mauvais goût pour un adepte d'ambiance sombre ? Terrible erreur. Oui, terrible. Car seule la terreur restera gravée sur vos visages lorsque ce que vous prenez pour un vulgaire macchabée rongé par le temps s'animera et bondira dans votre direction pour vous faire partager leur sort. Vous pensez que ce n'est pas possible ? Uhuh, très drôle. Vraiment désopilant. Permettez-moi de balayer vos croyances erronées.

Je suis un nécromancien. J'imagine que vous savez de quoi il s'agit. Mais je vais toutefois apporter quelques explications pour les non initiés à la magie et ses diverses branches. Un nécromancien contrôle les ossements. Debout les morts ! C'est ma réplique préférée, voyez-vous. Elle est tellement appropriée. Par magie, je peux animer les squelettes, et leur faire exécuter tous mes désirs. Quand je parlais de mes mignons qui font les sales corvées à ma place, ce sont donc à ces sacs d'os que je faisais allusion. Il m'est très aisé de les contrôler, peu importe leur nombre. Cependant, même s'ils ont sans nul doute une grande efficacité sur les civils dénués de toute magie, face aux madoshis ils ne deviennent que de la chair à canon. Très utiles pour les basses besognes, donc. Mais en combat, ils ne valent pas grand chose. Dans le cas d'un affrontement, mieux vaut en mélanger quelques uns pour créer un bon gros squelette. C'est plus volumineux, et ça fait plus de dégâts. C'est plus drôle, donc. Voyez la logique. Sinon, je peux aussi utiliser leurs os séparément pour créer d'autres attaques sympathiques. Un peu d'originalité ne fait jamais de mal. Sauf bien sûr quand on se prend la dite originalité en pleine face. Oui, là c'est différent. Bon, je pense avoir été assez clair sur le genre d'utilisations que je peux faire de mes mignons. Simplement, autant préciser une petite chose : Il sera bien plus économe en énergie d'invoquer peu de squelettes qu'un grand nombre. Ce sera en l'occurrence plus dépensier de faire appel à un gros squelette. Qui plus est, plus je suis proche d'un cimetière, plus facile est l'invocation, et donc moins cher est le coût en énergie pour employer ma magie. Sauf en ce qui concerne Bodok, Flip et Ziggy.

... Je vous ai perdus en chemin, non ? Oh ! Bien sûr, vous vous demandez qui sont ces trois énergumènes aux noms étranges. Eh bien il faudra attendre pour en savoir plus sur leur lien avec moi. Mais bon, je ne risque rien en vous disant que le premier était autrefois un homme, et les deux autres des animaux. Ils sont toujours avec moi. Mmm... je vous vois venir. C'est vrai que même en regardant à droite et à gauche autour de moi, vous ne voyez personne. Normal, puisque mes trois chéris ne sont pas au mieux de leur forme. Ils sont cachés dans ma veste, à l'intérieur de petites urnes. Enfin, pour être plus juste, ce sont leurs cendres qui y sont. Flip et Ziggy sont aussi peu coûteux à invoquer que les squelettes, à ceci près qu'ils ont l'avantage d'être disponibles aussi facilement et au même prix quelque soit l'endroit où je les appelle. Il faut dire qu'ils ne sont pas là pour le combat. Le premier me tient compagnie lorsque je me sens seul et dans le besoin de l'avoir à mes côtés. Le second, quant à lui, sert uniquement pour transmettre des messages sur longue distance. Il sert de messager, quoi. Mais pour Bodok, c'est autre chose. Il est plus coûteux en énergie que n'importe lequel de mes mignons. Certes, comme ses deux compères, son coût ne varie guère selon l'endroit où je l'appelle. Mais n'empêche qu'il a un appétit féroce en terme d'énergie volée à son maître – c'est à dire moi – au fur et à mesure que le temps s'écoule et qu'il reste en ce bas monde pour accomplir l'objet de mon désir. Un vrai morfale. Autant dire que je ne l'appelle qu'en cas de dernier recours. Il faut aussi préciser que c'est le plus puissant de mes chéris et mignons confondus. Pas étonnant qu'il fasse quelques caprices sur sa " nourriture " - comprenez par là, mon énergie – lorsque je lui fais ramener ses miches parmi les vivants. Bref, j'ai fait le tour. Passons plutôt à la suite.

Style de combat: (5 lignes minimum)

Ma magie me suffit amplement. Je n'ai pas besoin d'autre chose que cela pour me battre. Donc, parler d'un style de combat, c'est un peu hors de propos dans ce cas précis. Je ne m'intéresse pas au corps-à-corps. Une arme ? Pour quoi faire ? Mes mignons sont toujours là pour faire le sale travail à ma place. Et le plus beau dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas dire que je ne m'implique pas, puisque sans moi, mes tas d'os chéris ne pourraient même pas le faire ce fichu sale boulot. En revanche, même si je ne me sers pas d'arme pour combattre, j'aime jouer du scalpel et autres ustensiles pour rendre leur beauté à mes petits patients. Un acte de pur altruisme, bien entendu.

Guilde: (si vous en voulez une)

Aucune pour le moment, mais je verrai en temps oulu ce qui me tente chez les Guildes Sombres.

Profession: (facultatif)

Aucun actuellement. j'ai laissé le travail de côté pour voyager de mon plein gré.

Vous

Prénom:

Sébastien.

Âge:

Bientôt vingt-quatre ans.

Comment avez-vous connu le Forum:

En me promenant sur le net, un peu par hasard.

Commentaires ?: Nada.
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MessageSujet: Re: Mortimer Zack (inventé) Fini.   Mortimer Zack (inventé) Fini. EmptyLun 25 Jan - 17:47

Récit biographique :

Première partie : Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.

Je suis arrivé en ce bas monde il y a une trentaine d'années, à peu de choses près. Unique héritier d'une famille assez aisée – sans pour autant entrer dans les hautes strates de la bourgeoisie – j'étais tout le temps gâté par mes parents. Tous deux tenaient une petite boutique de vêtements, tandis que je grandissais sans encombres, recevant toute l'affection qu'étaient capables de me fournir mes proches à longueur de temps. C'était l'époque de l'innocence, quoi. J'ai toujours eu tendance à être solitaire. Des amis, je ne cherchais pas vraiment à en avoir. Je me réfugiais tout simplement dans les tréfonds de mon imagination pour combler le manque de présence humaine lorsque mes parents étaient occupés à travailler durant la journée. Nul ne m'embêtait, et je n'avais de compte à rendre à personne. On pouvait vraiment qualifier cette période de ma vie comme celle de la tranquillité et de la découverte de la vie. Rien de bien passionnant en somme. Du moins, maintenant que j'y repense. Car à l'époque, je me doute que je devais penser autrement. Une vie sans souci, une enfance radieuse. Que demander de plus ?

Je me souviens que mes parents avaient engagé un précepteur pour m'éduquer et m'apprendre tout ce que je devais savoir. Cependant, je serais bien incapable de me remémorer son nom, preuve qu'il ne m'a guère marqué. Un brave homme, un peu trop soporifique à mon goût. Oui, ça, je m'en rappelle. Combien de fois j'ai fini par m'endormir pendant qu'il me faisait la leçon ? Un vrai moulin à parole doublé d'un somnifère efficace. Je ne vous raconte pas à quel point il a pu être blasé en me voyant roupiller durant ses cours. Mais bon, il me pardonnait toujours. Allez savoir pourquoi. Peut-être parce que c'étaient mes parents qui lui versaient son cachet. Ouais, c'est sûrement pour ça. Mais passons. Je disais donc que cette période fut tout ce qu'il y a de plus banale, entre les cours avec mon précepteur au nom oublié, et les soirées en famille. Tout ça, ce fut un train de vie qui dura dix ans. Jusqu'à cette fameuse soirée...

Seconde partie : Quand l'espoir s'envole, tout dégringole.

Ce jour-là – car il faut bien se baser sur quelque chose avant d'entrer dans le vif du sujet – mes parents ne travaillaient pas. Ils avaient fermé la boutique la veille au soir en laissant un mot comme quoi ils prendraient un congé le lendemain, soit le jour qui nous intéresse. Nous nous étions tous levés à l'aube pour partir pique-niquer dans la cambrousse, loin de la ville où nous vivions. Oh ! C'est vrai ! J'ai oublié de mentionner que je suis originaire du pays de Loria, dans un petit village quelconque. Toujours est-il, donc, que le jour qui nous intéresse dans ce récit était une journée agréable, idéale pour se promener en pleine nature et y faire une halte pour déjeuner. C'est donc ce que nous fîmes. Le temps s'écoula tranquillement, sans souci, et nous rentrâmes à la maison une fois la nuit tombée. Mais à peine nous arrivâmes devant la porte de notre demeure que nous nous rendîmes compte que l'entrée était fracturée. Nous nous y aventurâmes prudemment, mais pas suffisamment sembla-t-il. J'entendis rapidement un bruit sourd, suivi du son si caractéristique d'une chute, tandis que mes parents tombaient l'un après l'autre. Je n'eus guère le temps de réagir car je sentis le contact douloureux de quelque chose qui vint rencontrer l'arrière de mon crâne. Ce fut l'obscurité qui m'accueillit alors.

Quelques heures plus tard – ou peut-être étaient-ce des jours ? Je l'ignore – je me réveillai dans une pièce sombre. Je suppose que j'émis alors un gémissement, ou quelque chose dans le genre, puisque des voix s'élevèrent rapidement, parmi lesquelles je pus distinguer la prononciation de mon nom. Je fus rapidement aveuglé par une lumière vive, lorsque mes geôliers éclairèrent la pièce. Quand je parvins enfin à retrouver une vue normale, je me rendis compte que mes parents gisaient à mes côtés. je tentais alors de les réveiller, en les secouant et en les appelant, mais seul un rire en provenance de l'un de mes opposants parvint à mes oreilles. J'appris ainsi, d'une manière vraiment crue, que ma famille était décédée suite à leur coopération qui consistait à verser tout leur argent à nos tortionnaires. J'étais donc seul, désormais. Même si physiquement parlant, on ne pouvait pas dire que je manquais de compagnie. Mais qui apprécierait d'être entouré de cadavres et d'ennemis ? Bon, d'accord, j'admets que j'adore être entouré de macchabées. Mais à cette époque, ce n'était pas encore le cas. Quoi qu'il en soit, mes geôliers décidèrent de se débarrasser de moi en me jetant dans un fleuve, après quelques séances de tortures qui me laissèrent de nombreuses cicatrices. Je perdis de nouveau conscience lorsque la noyade sembla inévitable.

Troisième partie : Nouvelle vie, vive les morts !

Lorsque je repris connaissance, j'étais étendu au fond d'un lit. Je me rappelle de cette scène comme si c'était hier. Mes sens avaient décidé de se relayer pour chercher à comprendre où je me trouvais. D'abord ma vue, puis mon ouïe, et enfin mon odorat. la première chose que je vis en ouvrant les yeux, ce fut une forme étrange qui se trouvait à quelques centimètres de ma tête. Quelques secondes me furent nécessaires pour que je comprenne qu'il s'agissait d'un chien. Un petit animal, probablement juste un chiot. Il me fixait, la langue pendante, pas du tout impressionné par le peu de distance qu'il m'accordait pour respirer. Lorsqu'il comprit que j'étais éveillé, il se rua hors de la pièce en aboyant comme un fou. Ce fut alors que mes oreilles perçurent des éclats de voix, comme un ordre lancé sèchement, suivi par la cessation de tout aboiement. Un homme était alors entré dans la chambre que j'occupais. A première vue, je me rappelle l'avoir pris pour un géant, et même lui avoir demandé s'il n'en était pas un. Qu'est-ce qu'il s'était marré ! Son rire était puissant, je m'imaginais presque en train de sombrer sous le plafond que je croyais prêt à s'écrouler sous ce déploiement de sonorité. Ce grand homme arborait une tenue faite d'un pantalon en peau de je ne sais quelle bête qui lui arrivait jusqu'aux genoux, ainsi qu'une tunique dans la même matière qui recouvrait ses épaules, mais laissait entrevoir une partie de son torse et gardait ses bras dénudés. Une énorme hache, aussi impressionnante que son possesseur, trônait dans son dos, tandis qu'un faucon se tenait sur son épaule. Je me suis toujours dit que même sans son arme, il aurait été vraiment dangereux. Vu la taille de ses mains, il pouvait aisément attraper ma tête dans son ensemble. Quand je disais que c'était un géant qui se trouvait près de moi, je crois que je n'étais pas bien loin de la vérité. En tout cas, il se présenta sous le nom de Bodok, et m'apprit que le chien se nommait Flip, à cause de sa manie à sauter partout. L'oiseau, quant à lui, portait le patronyme de Ziggy. Son plumage brun, serti de quelques rayures blanches en forme de zigzag me firent comprendre rapidement la raison d'un tel nom.

Ainsi commença ma nouvelle vie aux côtés de ces trois êtres si agréables. Bodok m'apprit l'existence de la magie, et se porta même volontaire pour m'enseigner la nécromancie. Grâce à son apprentissage, je compris la valeur d'un bon squelette, et l'inutilité de tout superflu sur un corps, qu'il soit humain ou non. Mon maître m'apprit ainsi l'art d'une bonne dissection, chassant de mon esprit les notions de bien et de mal pour les remplacer par l'utilité et l'inutilité de telle ou telle chose. Tuer des gens, ce n'était pas un mal, puisque ça permettait, après dissection, de faire revenir leur squelette à l'air libre. Et ça, pour un nécromancien, c'était vraiment utile. La peur de la mort ne représentait finalement qu'une futilité. Pourquoi craindre de finir en sac d'os, puisque c'était la meilleure apparence qu'on pouvait espérer obtenir ? Bodok m'enseigna également l'usage des traîtres mots, pour pouvoir duper facilement mes cibles afin de leur offrir un repos bien mérité, et une magnifique transformation. Puis vint le jour où se conclut mon apprentissage. Je fis mes adieux à mes compagnons, et rejoignis la ville la plus proche pour débuter ma nouvelle existence solitaire. Cependant, après que j'eus réalisé ma première dissection, je voulus montrer le résultat de mon travail à mes camarades. Mais lorsque je parvins près de leur habitation, située loin de toute civilisation, je ne fus accueilli que par des décombres. Flip et Ziggy gisaient sur le sol, tout comme Bodok. Ceci dit, ce dernier avait encore un souffle de vie. Je me précipitai à son chevet, et pus ainsi entendre sa dernière demande : l'incinérer avec les deux animaux, et conserver leurs cendres à mes côtés, pour en faire mes invocations lorsque je le souhaiterais. Je ne pus refuser une telle requête. Depuis lors, je ne me sépare jamais de ceux que j'ai renommés mes trois chéris, pour les différencier pleinement des autres squelettes, mes mignons assignés aux basses besognes. Mais mon histoire ne s'arrête pas là, car il manque une toute petite partie : je voyageai alors sans cesse, jusqu'au jour où je décidai de m'installer dans une ville du Royaume de Fiore. C'est là que je mis au point cette couverture de chirurgien. Puis vint le temps où un détective commença à me suivre. Je mis quelques jours à me rendre compte de son manège. Un soir, la filature fut inversée, alors qu'il rentrait chez lui. Je le suivis discrètement, et m'en débarrassai comme il le fallait. Désormais, j'ai repris mon voyage, mis de côté cette couverture de chirurgien que je conservais depuis des années, et me voici prêt à découvrir ce que l'avenir me réserve...
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MessageSujet: Re: Mortimer Zack (inventé) Fini.   Mortimer Zack (inventé) Fini. EmptyLun 25 Jan - 18:16

Histoire extremement interressante ^^
Un autre méchant sur le forum Very Happy

Je valide !!
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MessageSujet: Re: Mortimer Zack (inventé) Fini.   Mortimer Zack (inventé) Fini. Empty

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